Archives annuelles: 2021

6 articles

Lectures et autres

Colloques, informations… :

La tyrannie de la norme

Paris les 19 et 20 Janvier 2019

Les médiations du concepts aux applications

Enfance et psy

Paris le 28 janvier 2019

Clinique des réseaux

SFPPG

Paris les 6 et 17 Mars 2019

Psychanalyse du couple et de la famille. Perspectives dans le monde.

NAPLES 14 au 17 Février 2019

Amour et Psyché
Enjeux cliniques des liens
dans les couples, les familles, les groupes, les institutions.

HYERES du 28 février au 1er Mars 2019

« Nouvelle autorité » et fonction d’ancrage :une approche intégrative pour les parents, les éducateurs et les enseignants

Institut d’études systémiques

PARIS 1er 2 Avril

Ecoute psychanalytique en situation groupale

transition

Paris 19 Mai 2019

Groupes et psychodrame dans la clinique actuelle

IFAGP

23 Novembre 2019

Textes et articles consultables :

Quelques ouvrages de référence :

ABRAHAM N. et TOROK M., L’écorce et le noyau.

ANZIEU D., Le moi Peau / Le groupe et l’inconscient.

AULAGNIER P. La Violence de l’Interprétation

BERGERET J., La violence fondamentale / La violence et la vie.

BRACONNIER A., L’adolescence aux mille visages

CHEBEL M. Le corps en Islam

COSLIN P. les conduites à risque à l’adolescence

CROCQ L.. Les traumatismes psychiques de guerre. Paris, Odile Jacob,

CROCQ L., Huberson S., Vraie B., Gérer les grandes crises. Paris, Odile Jacob

DE CLERCK et LEBIGOT F,. Les traumatismes psychiques, 2001

DEJOURS C : Le corps d’abord, Paris, Payot, 2003  Les dissidences du corps, Payot,

DOLTO F., La cause des adolescents / L’image inconsciente du corps.

EIGUER A., La famille de l’adolescent / Le retour des ancêtres / Le pervers narcissique et son complice / L’inconscient de la maison

FERENCZI S., L’enfant dans l’adulte / Le traumatisme

FOUCAULT M., Histoire de la folie / Surveiller et punir

FREUD S., Métapsychologie / Trois essais sur la théorie de la sexualité /L’interprétation des rêves /Névroses, psychoses et perversion

FUSTIER P. les corridors du quotidien 2008

GREEN A. La Folie Privée, Gallimard, 1990

GUTTON P., Violence et Adolescence

HELLBRUNN R.,Au vif de la violence 2015/ A poings nommés 2003

HIRIGOYEN M.F., Le harcèlement moral, la violence perverse au quotidien / Femmes sous emprise, les ressorts de la violence dans le couple.

HOUZEL. D, Les enjeux de la parentalité

JEAMMET P., L’adolescence

KAES R. Différences culturelles et souffrance de l’identité

KLEIN M. Envie et gratitude /  L’amour et la haine / Psychanalyse d’enfants

LEMAIRE J. Les mots du couple / Famille, amour, folie

LEBIGOT F. 2005. Traiter les traumatismes psychiques

LOWEN A.; le langage du corps 1968

MCDOUGALL J. Théâtre du corps / Plaidoyer pour une certaine anormalité / Théâtre du Je

MILLER A., C’est pour ton bien!  Racine de la violence dans l’éducation de l’enfant / La connaissance interdite

MORIN E. La voie.

RACAMIER P.C., Le génie des origines / L’inceste et l’incestuel / Les perversions narcissiques

SCHUTZENBERGER A.A., Aie, mes aïeux!

SEARLES, l’effort pour rendre l’autre fou, 2003

TISSERON S. Secrets de famille

TOMKIEWICZ S. L’Adolescence volée

VAN DER HART O. Le soi hanté

WINNICOTT D.W. de la pédiatrie à la psychanalyse / Jeu et Réalité / Déprivation et Délinquance

Quelques articles :

FERENCZI S. (1933), « Confusion de langue entre les adultes et les enfants », Psychanalyse 4, Paris Payot, 1982, p. 125-135.

FERENCZI S. (1934), « Réflexions sur le traumatisme », Psychanalyse 4, Paris Payot, 1982, p. 139-147.

JEAMMET P. «  Réflexion sur la parentalité », Adolescence, 2006/1, n°55, p.69-77.

SOULE M, LEVY SOUSSAN P «  Les fonctions parentales et leurs problèmes actuels dans les différentes filiations », la psychiatrie de l’enfant, 2002/1 vol 45, p77-102

WINNICOTT D. W. (1972), « la crainte de l’effondrement », La crainte de l’effondrement et autres situations cliniques, Paris, Gallimard, 2000, p. 205-216.

WINNICOTT D. W. (1939), « L’agressivité et ses racines ». Déprivation et délinquance. Paris, Payot, 1994. p. 103-119.

WINNICOTT D. W. (1958), « La capacité d’être seul », De la pédiatrie à la psychanalyse, Payot, 2004, p. 135-149.

WINNICOTT D. W. (1949), « L’esprit et ses rapports avec le psyché soma», De la pédiatrie à la psychanalyse, Payot, 2004, p. 325- 333.

WINNICOTT D. W. (1965), « Le passage de la dépendance à l’indépendance dans le développement de l’individu »,

Revues:

Adolescence

Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux

Clés

Connexion

Devenir

Dialogue

Empan

Revue Française de Psychanalyse

Revue de Psychothérapie Psychanalytique de Groupe

Psychologues et Psychologies

Le cercle psy

Le traumatisme et ses traitements


Le traumatisme psychologique correspond à une ensemble des mécanismes physiologique, neurologique et psychologique qui peuvent se mettre en place lorsqu’un sujet est soumis à un événement causant une charge émotionnelle et/ou psychologique débordant ses capacités de traitement habituelles.

Découverte et développée à la fin des années 80 par Francine Shapiro l’EMDR est devenue un des modes de traitement psychothérapeutique du PTSD (ou ESPT : État de Stress Post-Traumatique) ayant donné lieu au plus grand nombre d’études cliniques. Elle utilise la stimulation sensorielle des deux côtés du corps, soit par le mouvement des yeux soit par des stimuli auditifs ou cutanés, pour induire une résolution rapide des symptômes liés à des événements du passé. Cette thérapie poursuit le mouvement de recherche clinique et de soins inaugurés par la psychanalyse, la thérapie cognitive comportementale, les traitements par exposition, la médecine humaniste, les thérapies systémiques et les psychothérapies brèves centrées sur la personne et les neurosciences.

La thérapie EMDR s’adresse à toute personne (de l’enfant – même en bas âge – à l’adulte) souffrant de perturbations émotionnelles généralement liées à des traumatismes psychologiques. Il peut s’agir de traumatismes tels les violences physiques et psychologiques, les abus sexuels, les accidents graves, les décès, les maladies graves, les incendies, les catastrophes naturelles, les situations de guerre et attentats, … Mais il peut s’agir aussi d’événements de vie difficiles ou de petits traumatismes qui passent inaperçus et peuvent être la source d’émotions ou de comportements inadaptés ou excessifs dans la vie quotidienne (enfance perturbée, séparations, fausses couches et IVG, deuils, difficultés professionnelles, etc…)
 
« Chaque événement douloureux laisse une marque dans le cerveau. Celui-ci effectue alors un travail de “digestion” permettant aux émotions qui accompagnent le souvenir de se désactiver. A moins que le traumatisme ait été trop fort ou ait frappé à une période où nous étions vulnérables. Dans ce cas, les images, les pensées, les sons et les émotions liés à l’événement sont stockés dans le cerveau, prêts à se réactiver au moindre rappel du traumatisme. Dans l’EMDR, le mouvement oculaire “débloque” l’information traumatique et réactive le système naturel de guérison du cerveau pour qu’il complète son travail. » David Servan-Schreiber
 
Mon intérêt pour le traitement des trauma m’a amené à me formé à l’EMDR et au travail avec la dissociation traumatique. Complètement intégrés à ma pratique ces approches nourrissent ma pratique sans etre devenue exclusives. En effet, je prends le temps d’écouter, d’évaluer la demande de chacun et de proposer des séances d’EMDR ou de travail en dissociation.
 

Thérapie de couple et de famille

La thérapie de couple et de famille  prend en compte la spécificité de la famille et du couple.

Ces approches thérapeutiques visent à soulager la souffrance du groupe famille ou du couple tout en favorisant l’épanouissement de chacun.

Tout couple est amené à affronter des périodes de crise, de doutes, et d’incompréhension mutuelle, consécutives à une évolution personnelle, à une dynamique relationnelle ou à des évènements déstabilisant la relation.

Quand les conflits deviennent trop important, qu’ils entraînent une désillusion extrême des partenaires, l’élaboration des reproches devient difficile, voire impossible ; les échanges deviennent si agressifs que le silence, parfois, supplante la parole. Affrontement violent ou repli sur soi, consécutifs à la dés-idéalisation, peuvent entraîner une menace de rupture susceptible d’être désamorcée, ou mieux gérée par une thérapie de couple.

Si le couple est dit infertile, il peut être nécessaire d’être accompagné dans cette blessure, et à travers l’épreuve que constitue un parcours médicalisé de désir  d’enfant. Confronté à la fois au regard médical et social, le couple dit infertile peut souffrir et ne plus savoir comment maintenir une conjugalité vivante. Les consultations conjugales viennent alors en soutien pour traverser cette période sans s’y perdre.

La thérapie familiale peut être requise dans plusieurs situations, notamment lorsqu’un ou plusieurs membres de la famille souffre d’un trouble impactant sa vie familiale de plein fouet (addiction, phobie, anorexie, maladie mentale, violence…) et/ou lorsque des conflits et des tensions entre les parents, entre les parents et le (ou les) enfant(s), dans la fratrie… empêchent le groupe d’évoluer et fait craindre l’implosion de la famille et la perte de membres.  La famille se sent démunie devant des problèmes qui se répètent, qui font souffrir tous les membres de la famille et que rien ne semblent pouvoir apaiser.

En pratique

La demande de consultation familiale ou en couple, première étape du travail, amène à des entretiens préliminaires qui permettront de repérer les différents fonctionnements et de poser le cadre du travail  thérapeutique à entreprendre.

Dans les deux cas, le thérapeute ou les thérapeutes s’efforceront de rétablir la communication entre les partenaires ; grâce à un abord analytique, systémique et trans-générationnel, pour permettre d’élargir la réflexion et d’intégrer l’ensemble des modalités du couple ou de la famille dans son histoire, et de remettre le processus évolutif et créatif en route.

Le prix d’une thérapie de couple ou d’une thérapie familiale varie entre 90 et 140 euros la séance.

Analyse de la pratique / supervision

Lorsque l’on travaille dans le secteur sanitaire, médico-social, paramédical, psychologue, psychomotricien, éducateur, assistant social, infirmier, judiciaire… autant de métiers humains impliquant la subjectivité de chacun et son rapport à soi-même et à l’autre… L’analyse de sa pratique professionnelle en groupe ou individuellement, est un outil clé pour soutenir la capacité de pensée et la créativité, prévenir l’usure professionnelle et mieux comprendre le sens de ses actions professionnelles, afin de leur redonner toute leur valeur et leur intérêt.

Au sein de votre équipe, dans un groupe de paires, ou individuellement, il est fortement conseiller de travailler avec quelqu’un d’extérieur votre pratique professionnelle, les situations dans lesquelles vous vous sentez enlisé et leurs résonances avec votre propre histoire.

Les séances de supervision individuelle durent de 1h à 1h30. Leur prix moyens est de 60 euros.

Les séances d’analyse des pratiques en groupe de paires durent 2 à 3h. Elles coutent 50 euros.

Les groupes d’analyse des pratiques en équipe se déroulent soit sur site, soit au cabinet si un besoin d’extériorité supplémentaire est nécessaire. Un devis peut être fait à l’établissement demandeur.

Psychoboxe

Une approche psychocorporelle du sujet en situation de violence

La violence et l’agressivité

La violence et l’agressivité font partie de la vie, elles sont inhérentes à l’être humain. Elles ne sont pas  pathologiques en soit et sont même nécessaires à la vie et au développement autant individuel que social. On pourrait parler là d’une violence qui maintient le sujet debout, en vie, en capacité à faire face, à tenir contre, à faire preuve d’adversité; et d’une agressivité juste dans la relation à l’autre.

Elles peuvent aussi être le témoin d’une destructivité et d’une pulsionnalité menaçant l’équilibre et l’évolution du sujet et du collectif humain.

Face à sa propre violence, celle de son histoire, celle de l’autre, on peut se trouver sidéré, sans possibilités de penser, de bouger, de repousser, de tenir à distance, débordé, dépassé, angoissé, tétanisé ou au contraire poussé à agir…

Forces actives, et agissantes elles peuvent nous presser, nous oppresser, nous contraindre intérieurement. Nos capacités de maîtrise et de transformation peuvent s’en trouver dépassées. Entre le mouvement instinctif et la rationalité il n’est pas facile de garder le contact avec l’essentiel et de saisir ce qui nous anime.

Il n’y a pas de solution simple à la violence, par essence multiforme et pluri-factorielle, mais il est possible d’en explorer les effets, les traces, les traumas, les mouvements, les réponses possibles…

La psychoboxe

La psychoboxe est une pratique fondée par Richard HELLBRUNN, psychanalyse et professeur de boxe, dans le but de permettre à un sujet, à travers ses gestes, ses affects, ses représentations, d’interroger son rapport à la violence et de remettre en jeu l’universalité des processus et la singularité des positions qui émergent de sa confrontation à ce qui lui est violent, dans son corps, sa parole et ses actes.

Des combats libres à frappes atténuées effectuées dans un cadre formellement défini quant aux mouvements qu’il autorise, contient, transforme et porte à l’intelligibilité.

La psychoboxe se pratique individuellement ou en groupe dans un cadre précis et stabilisé.

Le champ de la psychoboxe est limitrophe de la psychanalyse à laquelle elle emprunte l’essentiel de sa conceptualisation. Elle se réfère explicitement à la psychanalyse dans ses applications en psychothérapie, dont le cadre et les processus limités diffèrent de la cure type.

Elle emprunte sa gestuelle aux sports d’impact, essentiellement à la boxe, don elle se différencie par l’absence d’apprentissage technique et par ses objectifs. La compétition est ici remplacée par la connaissance et par l’ouverture dégagée par son cadre aux affects et à la parole.

Elle est proche en cela du psychodrame analytique dont elle se distingue par le niveau de régression, l’absence de scénario pré-établi, l’archaïsme des échanges, le débordement des défenses, l’autorisation du toucher.

Elle est proche aussi de la danse dans la mesure où elle conduit un sujet à s’écouter dans ses mouvements corporels, dans son exploration spatiale, dans ses rythmes, mais elle s’en détache par sa rencontre avec une pression extérieure, intersubjective, qui réduit son expression en la finalisant dans un tenir debout, un combat, une garde.

La psychoboxe connaît des applications :

En psychothérapie, principalement pour des sujets pouvant avoir recours aux actes violents ou pour ceux qui gardent des traces de leur passage dans des situations difficiles voire traumatiques. Mais aussi pour toute personne au prise avec des mouvements internes violents et des questions relatives à son rapport propre à la violence

En formation principalement pour les professionnels confrontés à titre individuel ou collectif à des situations violentes.

– Dans le domaine éducatif pour permettre à des jeunes de trouver des repères quant à leurs limites en intégrant leur image du corps.

Extraits du code de déontologie

Art 3: Compétence. Ne pourront prétendre au titre de Psychoboxeur que des praticiens dûment formés, agréés et supervisés dans le cadre de l’Institut de Psychoboxe

Art 6 : Les applications de la Psychoboxe en psychothérapie seront totalement soumises au secret professionnel.

Art 7: Aucune pratique ne donnera lieu à un rapport écrit destiné à un tiers à des fins d’expertise ou d’évaluation de la personnalité.

Art 8 : Quel que soit le champ d’application, la libre adhésion du demandeur est une condition absolue à l’exercice de la psychoboxe […] Aucune injonction thérapeutique ne pourra être acceptées en psychoboxe. Aucune pratique ne pourra être faite sous pression extérieure, ou étant la condition à une quelconque contre partie.

En pratique

Les séances de psychoboxe sont co-conduites par 2 psychothérapeutes psychoboxeurs.

Une première rencontre exploratoire de 1h30 vous sera proposée. Celle-ci permet de faire connaissance et d’expérimentée cette approche afin d’évaluer ensemble la meilleure réponse thérapeutique à votre demande.

Elles sont facturées en moyenne entre 100 et 150 euros.

Formation à la Psychoboxe

Les situations de violence confrontent souvent les professionnels à des processus archaïques, qui interrogent le lien à l’autre et le sujet lui-même, dans ses limites et dans sa possibilité de maintenir une relation. Comment comprendre, accueillir, transformer, la violence de l’autre et la sienne ? Qu’est-ce qu’on observe, comment se positionne-t-on ? A-t-on le choix de l’action, de la réponse ? Quelle place tient la peur et le sentiment d’insécurité dans la réflexion et dans l’action ? Que dit le corps, ses mouvements, ses touchers, ses postures dans l’échange? Quelles contenances pour quelles transformations ?

La formation à la Psychoboxe implique d’avoir au préalable des acquis minimum quant à l’accueil et la prise en charge de personnes en souffrance. Cette formation se décline la plupart du temps en un stage de formation initiale qui pose les bases théoriques, cliniques, techniques et déontologiques de la pratique. Ces stages ne sont pas certifiants ni diplômants mais peuvent conduire à une reconnaissance par l’Institut National de Psychoboxe selon certaines conditions minimales. Sont proposés ensuite des stages de perfectionnement pour les professionnels déjà pratiquants. Par ailleurs l’inscription dans des supervisions, groupes de travail, d’échange et de recherche sont vivement conseillés.

Des stages de formation à la Psychoboxe sont régulièrement proposés à Paris et en France. Ils sont co-animés par 2 didacticiens et pratiquants agrées de l’Institut National de Psychoboxe. Actuellement ces stages sont proposés à de professionnels (psychologues, médecins, éducateurs, travailleurs sociaux….) dérireux de développer une pratique de Psychoboxe ou de se sensibiliser à une approche psychocorporelle.

Les tarifs évoluent en fonction de la durée des stages et du lieu de formation.

Les professionnels souhaitant proposer cette pratique et la développer dans le cadre de leur activité, seront invités à expérimenter les effets de cette rencontre, centrée sur des assauts d’1min 30 à frappes atténuées ; occasion singulière de travailler sur leurs mouvements internes et corporels. Grace au tiers réel et symbolique qui garantit le cadre et invite à la verbalisation du vécu du combat, chacun approfondira en groupe ce processus psychocorporel, son écoute, sa contenance. Des apports cliniques et théoriques viendront nourrir la pratique.

Ces formations ont pour objectifs

  • Proposer une prise en charge à des sujets débordés, écrasés par la violence
  • Se former à une approche psycho-corporelle de la violence
  • Appréhender la violence de l’autre mais aussi celle propre à chacun
  • S’entraîner à observer et analyser les situations de violence et d’agressivité
  • Pouvoir travailler avec son corps
  • Construire de la contenance

Ces formations sont engageantes et demandent des pré-requis qui seront discutés en amont (capacité de travail sur soi, son corps, ses affects, et la mise en mot de ses mouvements internes pour pouvoir l’offrir à un sujet en souffrance…)

Pour toute demande de formation vous pouvez me contacter directement par mail ou par téléphone

Plaquette de la formation 2022